Ernest Jones, ami de Freud et maître de Edward Glover, contribua lui aussi à véhiculer la légende d’un Jung pro-nazi, dans un passage de sa La vie et l’œuvre de Sigmund Freud. Étienne Perrot cite et commente les quelque douze lignes dans lesquelles Ernest Jones expédie sept années d’activités de Jung (1934-1940). Il les complète par une saisissante mise en parallèle des destinées de la Société internationale de psychothérapie et de la Société allemande de psychanalyse.
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