L’auteur se propose d’étudier l’animus dans la problématique féminine en s’appuyant d’une part sur ses manifestations cliniques, d’autre part sur sa structure bipolaire, c’est-à-dire sur ce qui ferait apparaître la « parenté intérieure » de son aspect formel avec son propre opposé, l’instinct. D’où une étude phénoménologique des effets de l’animus depuis ses manifestations archaïques et instinctuelles jusqu’à ses expressions plus particulièrement liées à la faculté discriminatoire et spirituelle du logos.
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