Au lendemain de la guerre, Ania Teillard, élève de Klages et de Jung, donne à la graphologie une dimension nouvelle en la reliant à la psychanalyse, et à l’œuvre de Jung en particulier. En 1948, elle publie un ouvrage resté célèbre : L’Âme et l’écriture dans lequel elle expose les notions jungiennes les plus utiles, l’interprétation du symbolisme de l’espace et la graphologie.
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