Eugène Green, l’Orphée baroque |
Premières lignes
Trop rares sont les films d’Eugène Green, sans doute parce que le temps de gestation qu’ils impliquent condamne à revenir vers le traumatisme inaltérable créé par la parole. Des personnages, des enfants ou des femmes prennent forme, que nous voyons sur grand écran. D’où viennent-ils, eux que l’on reconnaît d’emblée à leur façon si singulière de prononcer les mots avec les liaisons (…)
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