À partir du scénario du film Metropolis de Fritz Lang (1926), l’auteur se demande où est la mère dans ce qui semble être un conte socio-politique œdipien. Il reconnaît le vide du dogme freudien quant à l’animus de la mère. Il lui oppose le schéma de Mircea Eliade, Claude Lévi-Strauss ou Carl Gustav Jung, qui restitue sa place à la grande Déesse-Mère primitive. Vaincue, celle-ci doit céder son royaume en faveur d’un univers patriarcal. La révolution toute révolution sera donc un parricide et un déicide.
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