Extrait du Liber Secundus, 118 |
Premières lignes
Le plus petit en toi est plongé dans un sommeil de mort et a besoin de la chaleur vitale qui comprend sans distinction et indifféremment le bien et le mal. C’est le chemin de la vie, tu ne peux pas dire de lui qu’il est bon ou mauvais, pur ou impur. Mais ce n’est pas le but, c’est le chemin et la transition. C’est à la fois la maladie et le début de la guérison. C’est la mère (…)